Sur la place des tournois.

Vo mimbre etait sur son jour de fête et ce depuis ce matin aux aurores. Depuis la vistoire Minbraïques sur Torak, les fetes de ce jour etaient joyeusement parfaites. Tout etait la, des forains animait la place avec des marchandises aléchantes, des villageoises jolies se promenait dans les rues avec des tenues plus ou moins osés, des couleurs eclataient a chaques coin de rue, les odeurs de pommes chaudes, de caramels hantait le centre de la ville et attirait les enfants. Pourtant un peu éloigner de cette place, se trouvait au abord de la ville, le tournoi organisé comme chaque fete importante.
Méliandre s'y tennait. Dans une des tentes hautement colorés, elle se fait aidé par ses servantes a mettre son armure. Armue très jolie, un peu doré, spécialement faite pour elle, puisque les femmes chevalières etaient très rare. Sa mere a coté se fesait un sang d'encre. Son père, lui etait incoscient comme a son habitude, et fou de joie et exité comme une puce, comme toujours a chaque fois que sa fille participait a un tournois.
Méliandre, elle, etait confiante. Elle voulait eller haut, comme tout chevlaier, faire honneur a sa famille et ses amis. Jusqu'ici elle avait obtenu d'assez bon résultats. Toujours dans les trois premiers gagnants, alors pourquoi aujourd'hui sa technique, sa puissance et son agilité l'abandonnerai ?

1 ère joute. Tout se passait bien, comme a son habitude. Méliandre ne défaillait pas du haut de son cheval. Mais un joueur l'inquietait. Son ascenssion dans le tournois etait fulgurante. Il ecrasait ses adversaires, avec une méthode posé et particulière. La plupart se brisait le bras, le poignet ou autre partie du corps.
Elle devait le rencontrer a sa sixième joute, et pour une fois, elle apréhendait ce combat. Les deux chevaliers etait alors opposé, 50 metres les séparrait. La lance calé sur son bras, les jambes sur sa selle, Méliandre repassait ses cours élémentaire en revue et les appliquait en bon elève. Le départ est donné. Les chevaux s'élancèrent montant progressivement en vitesse. Méliandre pointait son arme vers lui, et ce derniere fit de meme. La chevaliere ne vit rien venir. Sa lance se brisa en milles echardes, le choc de la lance enemie la fit tomber avec violence sur le sol. Elle aurait juré que ce n'etait pas entierement du bois qui la fit tomber. Son cheval etait retenu plus loin, elle devait se relever.
Nerina se fesait un sang d'encre pour sa fille, si sa fille n'avait etait bléssé, elle serait dispensé du combat a pied qui l'attendait maintenant. Est ce que ce c'etait mieux ?
A sa déception, Méliandre se releva, la respiration saccadé, mais aucune partie de son corp ne parraissait lui faire mal. Méliandre dégainait son épée face a l'enemi qui s'approchait d'elle. Le combat etait sérré. La jeune fille avait l'avantage d'avoir appris la force et l'agilité de tous chevalier, mais elle le combinait avec sa légèreté et donc, sa rapidité. Les coups des deux combattant portait parfois a l'autres sans vraiment blessé gravement. Malheureusement, la puissance du coup de son adversaire ne se vit pas venir. Il passait evita le coup qu'elle voulait lui porter, méliandre se trouva donc dos alui pendant cet instant fatale ou le chevalier lui tranchait une large blessure sur sa nuque.
Méliandre tomba dans l'inconscience, ses derniers son du monde réelles lui informa de l'agitation autour d'elle. Mais elle ne sentait plus rien...

Elle repris connaissance doucement. Dans une tente chaleureuse aux couleurs chatoyantes et aux odeurs des enscens qui l'aivait aider a reprendre ses esprits. Méliandre etait la, alongé sur le ventre, dans une tunique blanche et bleue qui s'etait tacheté de sang.
Sa mère etait proche, debout et de dos. Elle préparait sans doute un remede contre la cicatrice larque qui lui parcourait douloureusement les epaules et la nuque. La blessure ne lui permettait pas encore de bouger la tete et les epaules, elle etait encore vive. Et ca, Méliandre le ressentit encore plus quand le remède fut appliqué. Nerina vit qu'elle s'etait enfin réveillé :

- Si mes soins te font mal, Ma grande chevalière, ne gemit pas. C'est un signe pour que tu ne recommence plus a te blesser a des jeux dangereux.

C'etait des mots exaspérant pour Méliandre.

- Je regrette, Mère, et j'ai grande honte à avoir perdu si vite, mais je n'abandonnnerai pas aussi rapidement et aussi lachement la grandeur de la chevalerie.

- Je ne veux pas salir son honnuer, Ma fille, mais si l'abandon de la chevalerie pourrait t'eviter la mort, alors ecoute moi, et ne reves plus de grandeur a l'image de ton père.

Dehors le tournois continuait.
Nerina etait passé de l'inquietude maladive a un soulagement protecteur a l'egar de sa fille. Elle savait que sa blessure n'etait pas si grave, qu'elle allait se remettre rapidement. Face au monstre que Méliandre combattait, plusieur ne s'en ressortait pas indemnes. Il fallait maintenant qu'elle se repose, que sa guerison fasse effet. Nerina sortait de la tente, laissant sa fille Méliandre seule.

Progressivement la jeune chevaliere se relevait. Elle se rhabillait plus chaudement, et rechercha son épée machinalement... Elle ne le trouvait pas ? Elle retourna la tente s'en dessus dessou, et son épée ne lui apparaissait pas. Elle sortit brusquement de la tente et recherchait du regard. Une autre femme avait l'epée a la taille, elle s'apretait a monter en selle. Méliandre se précipitait vers elle en l'appellant, mais l'inconnut partit comme une voleuse au galop.
Il n'y avait pas un instant a perdre. Méliandre prit un cheval au hazard, et partit au galop, elle rammassait une longue lance planté dans le sol et se lancait a la poursuite de la voleuse.

[M'en vais vers la tolnedrie]

un chevalier vêtu d'un étrange surcot noir comme la suie, d'un casque à l'air sinistre et de pièces d'armures disparates n'avait pas manqué une miette de la joute de la jeune dame. Il l'aperçu se lancer, après quelque temps passés sous une tente, dans une cavalcade forcenée, à la poursuite d'on ne sait quel diable... Il pesa le pour et le contre et résolut finalement qu'il valait sans doute la peine de la suivre plutôt que de continuer à observer ce tournois plutôt répétitif auquel il n'avait de toute façon pas l'intention de participer.. Oui la curiosité l'emporta: il enfourcha son pur sang algarois aussi noir que sa tunique et l'éperonna. Décidément il se demandait pourquoi il était venu en Arendie... Pourquoi ne pas suivre cette Dame emprunte de bravoure pour savoir de quoi il retournait?.. Il pourrait toujours faire route, par la suite, sur la Tolnedrie, rendre visite à ce bon vieux Publicola, son père adoptif..
Il sortit de la ville en trombe et s'enfonça dans un bois de noisetiers à la poursuite de la curieuse et belliqueuse inconnue... et de sa mystérieuse proie..
Il était tellement absorbé dans ses pensées qu'à la faveur d'une remontée de bière, il ne vit pas la branche qui lui barrait la route à hauteur de tête...